Raymond Garcia, "Le facteur de Fangataufa''
Voici un livre témoignage d'un postier militaire sur une de ses missions au cœur de l'Histoire de la dissuasion nucléaire française, force de frappe mise en œuvre par le Général de Gaulle.
Raymond Garcia aura été muté en Polynésie française en 1967 pour un séjour de deux ans alternant les séjours sur les iles de Mururoa, Hao et Fangataufa. Par la suite il sera à nouveau désigné pour un autre séjour de deux ans à Papeete.
Son livre a été adressé à tous nos adhérents, le Président de l'AAPAA l'a accompagné d'un commentaire :
''Bonjour à toutes et tous,
Veuillez trouver ci-joint un opuscule rédigé par Raymond GARCIA, ancien collègue et membre de notre amicale.
Postier devenu Postier aux armées, comme bon nombre d’entre nous, il a été envoyé à l’autre bout de la planète, en Polynésie française lors des essais nucléaires.
Rappel historique : Les essais nucléaires français ont débuté au Sahara algérien en 1960 jusqu’en 1966. Ensuite, vers la fin de la guerre d’Algérie pour l’indépendance, ils se sont poursuivis en Polynésie française de 1966 à 1996. Durant cette période, à raison de mutations d’un an sur les sites du CEP* (Mururoa, Hao, Fangataufa) et de deux ans en famille sur Tahiti, bien de nos anciens collègues, en témoins de l’Histoire de notre pays, auront apprécié les paysages idylliques et le mode de vie polynésien, marqués à jamais de ce vécu inoubliable.
Cet essai littéraire, captivant et amusant, retrace les pérégrinations d’un postier militaire, agent polyvalent à toutes les opérations de La Poste, qui rejoint son affectation en océan Pacifique, dans l’archipel des Tuamotu à Fangataufa. Il a été écrit lors des contraintes des confinements successifs cause à la Covid19.
Bonne lecture à tous, et pourquoi pas, à votre tour, de prendre la plume…
Recevez mes chaleureux sentiments amicalistes.
A Sens, le 26 mars 2023.
Patrice MOURNETAS''
''Merci à toi Patrice pour ce transmis relatant l’histoire émouvante d’un des nôtres au beau milieu de nulle part… tout cela pour qu’aujourd’hui, nous ayons ce garant de notre souveraineté.